Notre vol est à 9h30 à Carthagène, nous arriverons à Mexico à 14h30 après une escale rapide à Panama city. Vu que les vols ont été réservé que 24h plus tôt, nous ne sommes pas à côté dans l’avion, mais en demandant aux gens autour de nous on arrive quand même à avoir 2 places d’un côté et 3 de l’autre, c’est déjà pas mal !
Nous arrivons à l’hôtel qu’à 16h30, les formalités de douanes sont longues au Mexique et il y avait beaucoup de circulation, et oui il y a 20 millions d’habitants à Mexico, on est bien content de ne pas avoir Zao pour visiter la ville ! Pour notre 1ère soirée nous décidons de faire une surprise aux enfants, nous sommes samedi et il y a un spectacle qui fait fureur à Mexico, c’est la lucha libre = un match de catch. Les enfants ont adoré le spectacle, on voit bien que c’est de la comédie mais ils étaient à fond dans le match et dans l’ambiance, tout le monde crie pour encourager son équipe. A la sortie, arrêt obligatoire à la boutique de souvenirs qui vend des masques.
Le lendemain, après avoir profité du petit déjeuner à l’hôtel tant attendu par les enfants, nous partons visiter la ville de Mexico. On commence par le musée d’anthropologie qui se situe de l’autre côté de la ville, on décide de prendre le métro pour y aller. Le musée est très grand et très bien fait, il relate l’histoire des différents peuples qui vivaient au Mexique, on y passera la matinée. Nous traversons ensuite le parc « bosque de Chapultec », c’est le lieu de balade du dimanche pour les Mexicains, l’ambiance est familial. Nous reprenons ensuite le métro, direction le Zocalo, la place centrale de la ville où ont peut voir le plus grand drapeau du monde, près de la cathédrale et des ruines du templo mayor, nous finissons par le palacio Bella Artes.
Nous reprenons le métro pour rentrer pas trop tard à l’hôtel vu que le lendemain nous avons notre vol pour Veracruz à 8h30. A peine entré dans le métro, nous nous retrouvons dans une bousculade, Je retiens Esteban, pendant que Clément s’occupe d’Enola et Eldan, des gens se sont placés au milieu de la rame nous empêchant d’accéder aux places du fond et nous obligeant à rester compressé à l’entrée. Clément est obligé d’enlever la main de sa poche pour rattraper les enfants et ne pas tomber sur eux, 5 seconde plus tard il se rend compte que son téléphone n’est plus dans sa poche. Le métro est toujours à quai, nous prévenons tout de suite la police mais il est déjà trop tard… Avec le recul on comprend que c’était une bande d’au moins 10 personnes et qu’on aurait rien pu faire car ils bousculaient les enfants volontairement pour qu’on soit obligé de relâcher notre vigilance.